scenes from a memory act 2

analyse rédigée en décembre 1999, par Fabien Labonde, un fan français, clavier dans le groupe Aching Beauty

code de notation :
notes : de 1 à 7 : selon les 7 degrés de la gamme : exemple gamme mineure de sol : G : 1 2 b3 4 5 b6 b7 = G A bB C D bE F
accords : A = (135), Am = (1b35), A4 = (145), A7=(135b7), Amaj7 = (1357,) Adim = (13b5), Amdim =(1b3b5), A/C# = (351)

mots écrits en gras : références à Metropolis Part One ( MP1)
numéros de riffs écrits en gras : riffs ré-utilisables : que vous pouvez reconnaître dans différents morceaux ou albums.
En italique : répétitions dans les paroles .

0’00 8.1 intro : ligne de guitare en ré à l'octave  SCENE SIX
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MUSIC AND LYRICS BY JOHN PETRUCCI
0’14  8.2 mélodie ascendante en Dm mélodie en D mineur (1 b3, b3 2, 2 4, 4 b3, b3 5, 5 4, 4 b6, b6 5) crescendo + effets indéchiffrables ( on les entend beaucoup mieux dans l'intro du single) + belltree et cymbales  
0’40  8.3 sitar D4 (Cf. intro de Surrounded )  
0’43  8.4 arpège de guitare, mélodie de sitar sur une gamme défective ( une sorte de Ré phrygien avec une tierce majeur 1 b2 3 4 5 b6 b7 que j'appellerai gamme orientale pour aller plus vite ), cymbales et belltree.  
1’03 8.5 sitar solo , cymbales et belltree. Riff de basse en D.  
1’25  8.6 = 8.5 + batterie ( roulements de caisse claire) , son de synthchoir doux.  
1’46  8.7 = 8.5 riff en D . Les deux premiers temps sont accentués par la wah et les cymbales.  
2’08  8.8 mélodie orientale wah wah ( deux guitares ou plus + sitar) . La basse joue une simple ligne en D et Cm, son rythme s'appuie sur celui de la batterie.  
2’30  8.9 Riff à la manière de "Sad But True" , la batterie est binaire.  
2’34  8.10 = 8.9 le charley fermé reprend 2.2 ( i.e. MP1 1’43)  
2’40  8.11 = 8.9 couplet. voix en contrepoint  Shine lake of fire. Lines ( cocaine ?) , take me higher.
3’03  8.12 = 8.9 couplet. La batterie joue maintenant suivnt le rythme du riff. Effets sonores au clavier. Le break de caisse claire est calqué sur celui de MP1 en plus nuancé (2'10).  My mind tastes desire.
Confined, and overtired.
3’25  8.13 pré-refrain en A sur une gamme orientale(1 b2 3 4 5 b6 b7). Le synthé casse le rythme avec des accords . Living this charade is getting me nowhere.
I can’t shake this charade this city’s cold blood calls me
3’46  8.14 en Gm, basse et guitare sur trois notes (1 2 b3 1 b3 1 2 b3 1 b3...) Cf 5.5, 5.17 and 5.18. home
Home! It’s what
3’51  8.15 = 8.13  I long for. Back
3’57  8.16 = 8.14 en Gm. Le riff est sensiblement différent  home! where I be-
4’02  8.17 Ab Fm . John Petrucci donne une masterclass !!  long.
4’08  8.18 = 2.9 The Sleeper refrain : Cm Ab Fm Eb Bb, (=MP1 3’10) le piano reprend "Metropolis watches and…" . La seconde fois. Les choeurs citent MP1 : "love deceit death " . tambourin.  The city. It calls to me,
decadent scenes from my memory.
Sorrow, eternity
my demons are coming to drown me.
4’28  8.19 Cm Ab/C Amdim Ab Fm Db Bbm G5 C5.
La ligne de chant (b3 2 1, b3 2 1 " I’m falling! I’m crawling! " rappelle Scarred : " distractive reactive ") . tambourin. Portnoy joue 5.5 dans la première moitié, la caisse claire marque les temps dans la seconde. Fills de double grosse caisse.
 Help - I’m falling! I’m crawling!
I can’t keep away from its clutch!
Can’t have it, Deserve it
It’s calling me back to my home
4’48  8.20 La ligne de chant s'achève sur le premier degré de la gamme ( ré) les guitares reprennent MP1 en Dm (et non en Em comme dans MP1 : 1’25), la batterie joue la version live en triolets de croches sur les 3e et 4e temps de la 2e mesure.  
4’59  8.21 = guitares et sitar jouent 8.8, basse enchaîne 8.5 (3 premières mesures ) et la dernière de 8.8.  
5’19 8.22 = 8.5, la batterie reprend le pattern de toms de MP1 (après l'intro 1’21, ou dans le 2e couplet ). Le chant cite ce même couplet . Le clavier reprend les accords de 8.6 "I remember the first time she came to me. She poured out her soul and it cried. I remember I was told there’s a new love that’s born for each one that has died."
5’40  8.23 = 8.7, le synthé reprend 8.22 I never thought that I could carry on with this life,
but I can’t resist myself no matter how hard I try.
6’00  8.24 = 8.13 + 8.14 + 8.15 avec les guitares en contrepoint + 8.16 + 8.17. Les cymbales ( china) suivent le rythme du riff. Breaks de batterie intéressants (6'25 en sextuplets de doubles croches , 6'29 en triples croches). Echo à la noire sur le chant (8.14 et 8.16) Living their other life is getting them nowhere.
I’ll make her my wife, her sweet temptation calls me home. Home! That’s what I long for, my home!
Where she belongs.
6’40  8.25 = 8.19 The Miracle refrain. Le piano et le chant reprennent MP1 8’39 Her ecstasy means so much to me,
even deceiving my own blood.
Victoria watches and thoughtfully smiles,
she’s taken me to my home
.
7’01  8.26 = 8.18. Remarquez les breaks de batterie (7'10 avec des roulements de caisse claire)  Help! He’s my brother but I love her.
I can’t keep away from her touch…
Deception, dishonor
It’s calling me back to my home!
7’22 8.27 Voix en fade out sur le cinquième degré (la) avec un gros delay. Solo de sitar. La basse et la guitare jouent le riff 4 fois. Le tambourin marque le tempo. Roulement de caisse claire ( un peu comme 8.6).  
7’42 8.28 solo de sitar Riff 4 fois. Ambiance de casino . Batterie : cymbales et rim shot. La guitare est de plus en plus disto.  
8’03 8.29 solo Riff 4 fois. Ambiance de casino + femme apparemment heureuse. Tambourin, roulements de caisse claire. Guitare encore plus disto.  
8’23 8.30 solo Riff 4 fois. Guitare encore plus disto, femme encore plus heureuse ( apparement !)  
8’44 8.31 Solo Synthé sur riff Gm  
9’04 8.32 Solo Synthé 8.7. tambourin.  
9’24 8.35 Solo Guitare oriental 8.31  
9’44 8.36 Solo Guitare sur 8.7 transposé en A. tambourin. Joli break final par Portnoy.  
10’05 8.37 Solo Guitare = 8.14 + 8.15 + 8.16 + 8.17 . On entend comme un bruit de frette à 10'24  
10’26 8.38 = 8.18 Nicholas refrain  Her story, it holds the key.
Unlocking dreams from my memory.
Solving this mystery
is everything that is a part of me.
10’45 8.39 = 8.19 . Guuitares excitées sur la fin. Help- regression, obsession!
I can't keep away from its clutch
Leave no doubt, to find out
it’s calling me back to my home.
11’07  8.40 = 8.7 Le chant s'achève sur le premier degré comme en 8.20.  
11’26  8.41 = 8.21  
11’47 8.42 plus rapide. 7/8+7/8+7/8+8/8
thème au sitar sur gamme orientale. Percussions ethniques + hits de basse guitare et batterie.
 
11’54  8.43 = 8.42 doublé par la guitare. La batterie s'ajoute (rim shot)  
12’01  8.44 = 8.43 (idem sauf 7/8 dernière mesure). avec des toms en plus. Le tambourin donne le tempo.  
12’07  8.45 = 2 mesures 4/4 en Cm ( joué sur les notes de la gamme de D oriental : ceci équivaut donc à un Do éolien avec une tierce augmentée)  
12’11  8.46 = 8.44 : 4 mesures 7/8 en D . Deuxième moitié : la mélodie est doublée.  
12’17  8.47 = 8.45 : 2 mesures 6/4 + 7/16 . La china frappe le tempo.  
12’23  8.48 = in D. 4/4 +3/16 (3 fois) + 6/4 .
La basse s'ajoute aux festivités dans la seconde partie.
 
12’33  8.49 4/4 + 3/16 (2 fois) + 7/8  
12’43  8.50 Accord de Cm puis fade out en D + MP1 intro sound (0’03)  
     
 0’00 9.1 D5 son synthétique à forte attaque.
SCENE SEVEN
THE DANCE OF ETERNITY
MUSIC BY DREAM THEATER
 0’04 9.2 Extraits de MP1 (7’16) inversés . panoramique.  
 0’13 9.3 Riff samplé (guitare and shaker) avec delay à la noire (0’21 dans MP1)  
 0’16 9.4 grosse caisse à la noire, riff percussif de basse flangée en D rappelant 2.2 / samples du break de MP1 (4’32) transposés au demi-ton supérieur.  
0’24 9.5 La caisse claire et la guitare s'ajoutent au riff en D5. Break final comme 2.2  
0’33 9.6 Le synthé joue en arpèges 8/8 7/8 6/8 6/8 8/8 7/8 6/8 6/8 ;
riff pas très rigolo à la basse et à la guitare G Ab G F E C F# G Ab G F E C Eb , .
 

 

0’45 9.7 riff 8/8 7/8 7/8 6/8 Cf MP1, break central (4'22). Le synthé reprend les accords de 9.6 .  
 1’00 9.8 quatre variations sur un riff G Ab G Cf 9.6.
13/16 15/16 17/16 7/8
 
 1’07 9.9 = variation de 9.6 D Eb D C B G C# D Eb D C Ab  
 1’19 9.10 5/4 Break de piano rappelant Rick Wakeman dans Heart of the sunrise.  
 1’22 9.11 trois variations sur un riff , quasi-inversion de la structure de 9.8 :
17/16 15/16 13/16
 
 1’27 9.12 Le synthé enchaine des descentes de notes conjointes : 5 notes puis 10 notes puis 6.
La basse, la batterie et la guitare jouent un break sur un mesure 4/4 : 3/8+3/8+2/8
 
 1’29 9.13 ¾ ligne de basse de MP1 (6’34)  
 1’33 9.14 F# 7/4 7/4 7/4 5/4 Mp1 riff, arpèges au clavier. La batterie joue binaire puis ternaire.  
 1’45 9.15 break de Mp1 (7'20) = fin du riff 2.14  
 1’47 9.16 B5 Riff sur une note 11/4 Cf 5.21 . Gros son inversé à la fin.  
 2’03 9.17 variation 9.16 en B5 The mirror sur une mesure 11/4  
 2’08 9.18  = 5.21 ( en 11/4 ) arpèges à l'orgue et à la guitare. Beau jeu de cymbales. La caisse claire prend le rythme du riff en fin de dernière mesure.  
 2’18 9.19 riff =variation sur le début du riff 2.14  
 2’27 9.20 = variation de 9.19 Riff joué deux octaves en dessous. Le synté joue les accords. Sweeping final à la guitare.  
 2’35 9.21 = Em F#m B. variation de 9.20
Mélodie de piano ragtime ambiance Starwars (le piano reprend le sweeping of 9.20) , walking bass et batterie très swing.
 
 2’42 9.22 = variation de 9.21 Piano en accords . Em Cdim B, Em Am B5.  

2'51

9.23 solo de guitare. Son très compressé, doublé par le clavier. Em Dm Am F Em Dm Am F Em F G (cette suite d'accord est reconnaissable dans Finally Free...)  
 3’10 9.24 4/4 Am. Solo de basse disto, qui s'achève sur des doubles notes à la Geddy Lee. Hits de plus en plus aigus, frappés par la batterie, le piano et la guitare . La dernière mesure est en 3/4.  

3'23

9.25 4/4 Riff syncopé en Em sur une gamme ascendante (Cf. Pull Me Under "This world is spinning around me ..."). Rythme identique pour tous les instruments. La grosse caisse marque la noire.  
3'38 9.26 Même riff piano/guitare /basse mais sans les syncopes. La caisse claire et les cymbales marquent également la noire.  
 3’53 9.27 Riff transposé en D. Le clavier joue des accords séquencés. Joli jeu de charley.  
4'07 9.28 Riff ascendant de D vers A. Les cymbales s'ajoutent au riff pour marquer la progression. Fin sur une succession de 6/8.  
 4’21 9.29 break en E 7/16 7/16 7/16 4/4.  
4'25 9.30 Riff d'octaves basse et guitare (et cymbales pour les notes aigues) , accords ascendants au clavier. A. 5/8 5/8 7/8 5/8 7/8 5/8 5/8 7/8  
4'33 9.31 5/4 break : unisson guitare et clavier, même rythme pour basse et batterie.  
4'35 9.32 = début de 9.6 en G.
8/8 7/8 6/8 6/8 8/8 7/8 . Cette fois-ci, les arpèges sont joués par la guitare
 
4'46 9.33 Mélodie ternaire de guitare, clavier sur la seconde moitié. Em.
9/8 + 9/8 + 6/8 + 9/8 + 9/8 + 12/8 ( deux fois)
 
5'04 9.34 = 9.33 variation ternaire sur cette mélodie. 15/8 + 15/8 + 5/8 (deux fois)  
5'16 9.35 Riff 9.34 plus rapide. 6/8 8/8 6/8 8/8 , 6/8 5/8 6/8 7/8  
5'30 9.36 Riff composé, en G# 5/16 + 5/16 + 5/16 + 6/16 . Ce riff est fondé sur quatre notes ( 5 3 #4 3 1) comme 2.17.  
5'33 9.37 Riff = 9.35 en G# . La batterie impose un rythme ternaire à la seconde moitié.  
5'46 9.38 = 9.36 riff composé qui subit trois transpositions.
G# 5/16 + 5/16 + 5/16 + 6/16 ,
E 5/16 + 5/16 + 5/16 + 5/16
A 5/16 + 7/16 + 5/16 + 6/16
C 5/16 + 5/16 + 5/16 + 7/16
(Cf. MP1 7’32)
 
  9.39 Riff final très Rush ( FREEWILL )
B (6/8 + 6/8 ) C# (6/8 + 7/8) A (6/8 + 6/8) F# (6/8 + 9/8 rallentando) . L'ostinato 1 5 #4 3 2 rappelle 2.17. et 9.36.
 
 6’13 9.40 Break final.  
     
0’00 10.1 = 2.12 arrangé pour piano ( prédominance du rythme deux noire pointée + noire ) , avec de nombreux renversements d’accords et arpèges C#m B G#m A + basse (qui reprend le rythme du piano sur la fin) et batterie ( binaire, ride à la noire, quelques ghosts notes discrètes à la caisse claire), accord de guitare (9.40) en fade out . ONE LAST TIME
MUSIC BY DREAM THEATER LYRICS BY JAMES LABRIE
0’38 10.2 = couplet. même accords que 10.1 joués par un son de nappes. La guitare, la basse et la batterie jouent un ostinato en C#. Joli break final. It doesn’t make any sense, this tragic ending.
In spite of the evidence, there’s something still missing.
00’58 10.3 = 10.2 couplet. L’ostinato se poursuit. Guitare : arpèges sur cordes étouffées : en C#m. Les accords sont joués par un son d’orgue très soft. Heard some of the rumors told, a test of one’s wealth.
Did Victoria wound her soul, did she bid him farewell?
1’13 10.4 = 10.1 refrain : La guitare en son clair joue des arpèges avec les cordes de si et mi à vide (Petrucci tient ça d’Alex Lifeson). One last time, we’ll lay down today.
One last time, until we fade away.
1’32 10.5 = 10.4 refrain. guitare : disto . Voix doublée sur " time " et " fading away ". L'orgue est plus épais. One last time, we’ll lay down today.
One last time, we slowly fade away.
1’49 10.6 =F#7 break = 2.10. 7/4 8/4 7/4 8/4. La guitare reprend les ambiances de MP1 (5’52). Le riff pentatonique de basse annonce 10.7.  
2’05 10.7 = 10.6. = 2.10 : 7/4 8/4 7/4 8/4 , mélodie jazzy à la guitare, piano jazz également (penta, accords de 7e : très Sherinian) , Myung slappe et poppe.  
2’22 10.8 = 2.5 joué une fois et demie + F#m E . Here I am inside his home.
It holds so many clues to my suspicions
And as I’m standing here right now,
I’m finally shown what I have always known.
Coincidence I can't believe
as my childhood dreams slowly come true.
  10.9 D E  
2’50 10.10 demi-tempo : G A Bm G#m. chant + contrechant de guitare. Le piano joue une transition chromatique en triolets de croche de A à B, la guitare, la basse et la batterie jouent la transition suivante (plus courte) de B à G# Are these her memories awakened through my eyes?
This house has brought back to life.
3’07 10.11 F G/F Ab Bb/Ab transition chromatique ternaire de G# à F /F bells An open door. I walk on through into his bedroom.
3’15 10.12 Cm Cm/Bb Fm Fm/Eb Fm6/D Fm/Db. La batterie revient a tempo. Cloches, choeurs . Rallentando. Feeling as cold as outside,
the walls disappear as a woman is screaming.
A man pleads forgiveness, his words I cannot
3’30 10.13 Cm point d’orgue, cymbales hear.
3’36 10.14 thème au piano sur Cm et D majeur (Danny Elfman est passé par là) avec de nombreux arpèges et renversements d’accords.  
  10.15 fin en D.  
     
0'00 11.1 ¾ Couplet sur 1.6 au piano avec moult renversements. Voix chargée de feeling D D/F# G D Dmaj7/C# Bm Bm/A E/G# A4 A  SCENE EIGHT
THE SPIRIT CARRIES ON
MUSIC BY DREAM THEATER LYRICS BY JOHN PETRUCCI

Where did we come from? Why are we here?
Where do we go when we die?
What lies beyond? What lay before?
Is anything certain in life?

0'26 11.2 = 11.1 = 1.6 Piano plus présent + nappe soft
D D/F# G D Dmaj7 Bm Bm/A E/G# A4 A
They say, " life is too short, "  "  the here and the now " ,
and you’re only given one shot.
But could there be more,
Have I lived before,
Or could this be all that we’ve got?
0'48 11.3 refrain. G A D Bm G Em, soutenu par une ligne de basse mélodique If I die tomorrow
I’d be all right
because I believe
that after we’re gone, the spirit carries
1'06 11.4 La ligne de chant s’achève sur un ré (dominante) . Apparition de la guitare acoustique. Piano et basse sont toujours très mélodiques. Cymbales sur le premier temps des mesures paires. Break de batterie sur la fin. D D2 D4 Em. D D2 D4 A4 on.
1'27 11.5 = 11.1. = 1.6. Guitare bluesy comme dans 7.2. Le tambourin prend la place de la cymbale sur le premier temps des mesures paires. Le charley fermé surimpose un rythme shuffle sur chaque noire.
D D/F# G D Dmaj7 Bm Bm/A E/G# A4 A
I used to be frightened of dying.
I used to think death was the end.
But that was before, I’m not scared anymore.
I know that my soul will transcend.
1’50 11.6 = 11.5 = 1.6.
D D/F# G D Dmaj7 Bm Bm/A E/G# A4 A . Charley ouvert.
I may never find all the answers,
I may never understand why.
I may never prove what I know to be true,
but I know that I still have to try.
2’13 11.7 = 11.3 refrain. Effet de chorus sur la guitare. If I died tomorrow I’d be all right because I believe
that after we’re gone, the spirit carries
2'30 11.8 Fin du refrain en ré comme . transition en D orgue on.
2'32 11.9 transition D7 orgue rock avec une forte Leslie, break de batterie.  
2'36 11.10 = Refrain de Victoria. Em D# D E G Em. Crash à la noire. Move on, be brave! Don’t weep at my grave!
because I’m no longer here.
But please never let your memory of me disappear.
2'53 11.11 = solo de guitare : longue notes, feeling pentatonique et bluesy, enrichi par des gammes jouées à toute vitesse.
Bm Bb D E G A Bm Bb D D/F# E . Ride à la noire.
 
3’46 11.12 = solo de guitare sur le refrain, la batterie s’amuse à casser le rythme . G A D Bm G A  
4'00 11.13 = solo toujours (on se croirait dans Voices)
Bm (8 mesures avec une batterie très excitée) G Em C A (jolie descente de tierces, majeures et mineures alternées).
 
4’26 11.14 = 1.6 = 11.6 deux fois. Couplet avec chœur gospel et chorus vocaux, orgue très présent. Au moins trois guitare : acoustique, électrique en accords, disto solo. Les paroles reprennent 1.6 (citations complètes ou rimes)
D D/F# G D Dmaj7 Bm Bm/A E/G# A4 A
D D/F# G D Dmaj7 Bm Bm/A E/G# A4 A
Safe in the light that surrounds me.
Free of the fear and the pain.
My questioning mind
has helped me to find
the meaning in my life again.
Victoria’s real!
I finally feel
at peace with the girl in my dreams.
And now that I’m here, it’s perfectly clear
I’ll find out what all of this means.
5'11 11.15 = refrain avec chœur et orgue. Breaks de batterie très (trop ?) ternaires. If I die tomorrow, I’d be all right because I believe
that after we’re gone, the spirit carries
5'29 11.16 La ligne de chant du refrain s’achève sur un la.
D D G Em D D G A. La guitare ajoute un contrechant (qui nous rappelle 4.1) . choeur féminin. orgue.
 on
6'14 11.17 = Le piano et la basse reprennent 11.4 ( =11.16) et le contrechant de guitare reprend 11.16. Fin des chorus vocaux.  
     
0’00 12.1 Parlé  SCENE NINE : FINALLY FREE
MUSIC BY DREAM THEATER LYRICS BY MIKE PORTNOY

You are once again surrounded by a brilliant white light.
0’06 12.2 Arpèges guitare folk doublée par une guitare électrique en son clair = 1.6 Regression

D D/F# G D Dmaj7 Bm Bm/A E/G# A4 A

Allow the light to lead you away from your past and into this lifetime. As the light dissipates you will slowly fade back into consciousness, remembering all you have learned. When I tell you to open your eyes you will return to the present, feeling peaceful and refreshed. Open your eyes Nicholas.
0’29 12.3 = variation de 12.2 en fanfare . bruits de pas + porte de voiture + démarrage + grillons
D D/F# G Em A/C# A
F#/A# Bm G# F#/G E D#
 
0'55 12.4 G#m . cloches. arpège acoustique (vous allez encore dire que je chipote, mais c'est sorti tout droit de The Call of Ktulu de Metallica) . Bruit de Mercedes (en tous cas, c'est pas ma 4L qui ferait ça).  
1’06 12.5 G#m thème "glauque" aux strings. Bruit d'orage. La deuxième fois, des arpèges de cordes en pizzicato donnent plus de densité au riff ( qui est déjà assez dense comme ça!) . Fin en C#  
1’34 12.6 variation de 12.4 au piano : 7/8 7/8 7/8 4/4. Sur les deux dernières mesures, son de synthé aigu en C#.  
1’43 12.7 couplet: chant et piano G#m C#m G#m E C#m G#m C#m G#m F# E
Friday evening, the blood's still on my hands…
to think that she would leave me now for that ungrateful man.
Sole survivor. No witness to the crime.
I must act fast to cover up I think that there’s still time.
2'07 12.8 Deux guitares (acoustique et électrique son clair) doublent la ligne de chant
C# B F# Jordan s'excite en renversements
 He'd seem hopeless and lost with this note.
They’ll buy into the words that I wrote.
2’21 12.9 Refrain The Miracle : piano et guitare acoustique , tambourin, nappe de strings douce: G#m D#/G E C#m B F#4 F#
G#m D#/G E C#m B D#m
 This feeling inside me finally found my love
I 've finally broke free.
No longer torn in two. I’d take my own life before losing you.
2’43 12.10 = 12.6 Fade out des strings. un break de batterie assure la transition avec 12.11.  
2’53 12.11 = variation de 12.9 tutti.
Couplet de Victoria ( La Brie a pris des cours avec Madonna). Très belle partie de guitare. La basse slappe et pope (trois hypothèses. 1 : John Myung a appris deux nouvelles techniques; 2 : ce sont des samples pilotés par Jordan et ses incroyables machines ; 3 : Petrucci a renversé par inadvertance un plateau contenant 12 tasses de café bouillant sur John Myung pendant qu'il enregistrait ).
G#m D# E C#m B F#
G#m D# E C#m D#m
 Feeling good this Friday afternoon.
I ran into Julian, said we’d get together soon.
He always had my heart he needs to know.
I’ll break free of the miracle, it’s time for him to go.
3'17 12.13 refrain de Victoria chanté à l'octave = 12.9. Deux guitares jouent une contremélodie envoûtante. This feeling inside me, finally found my love. I 've finally broke free.
No longer torn in two, he’d kill his brother if he only knew.
3'40 12.14 F# E D#m G#m F# E D#m D# . La guitare double la ligne de chant. Ensemble de choeurs. Le piano double le chant. Their love renewed they’d rendezvous, in a pathway out of view.
They thought noone knew
then came a shout out of the…
4'03 12.15 G#m F# C#m A = 9.23 avec un ostinato en E D# . Riff aux cloches tubulaires (Oldfield es-tu là ?). Breaks de batterie. La guitare et la basse jouent les notes graves . Grillons, bruit de combat, cris, bris de verre. Night
4'24 12.16 = 12.15. Basse et guitare jouent maintenant le riff complet, puis l'enrichissent. La batterie joue une pattern à la noire. Cris, bris de verre, deux coups de feu, quatre cris de femme qui a la peur de sa vie, voix d'homme, deux autres coups de feu avec plus de reverb, bruits de pas de course qui s'éloignent.  "Open your eyes Victoria"
4'49 12.17 = 2.12 = 10.5 . C#m B G#m A . Fin en A G#. Arrangements très softs : longs accords de guitare disto, nappe de cordes. Ride à la noire, crash à la blanche.  One last time, we lay down today.
One last time, until we fade away.
One last time, we lay down today.
One last time, we fade away.
5'31 12.18 = solo de guitare (Scarred !!!!!!!!!!!) = 2.12 (mêmes accords suivis de A B A/C# B/D# : ces deux derniers accords en 6/8)  
5'56  12.19 6/8 couplet, arrangements très ciselés : les strings et les choeurs doublent le chant, contremélodie de guitare en aigu, ligne de basse descendante enrichissant l'harmonie de 7e et 6e degrés, accords de piano discrets mais reprennant les mêmes altérations dans des renversements. Interventions de toms.
E C#m B C#m
A F# B G#
 As the bodies lie still, and the ending draws near.
Spirits rise through the air. All the fears disappear.
It all become clear, a blinding light comes into view
the notes are exchanged for a new
6'21 12.20 binaire. La guitare finit par un arpège a la Vivaldi. C# C#7 C#6 A familiar voice comes shining throuuuuuuuuugh
6’29 12.21 = 12.9 sans piano, guitare avec des vrais bruits de lâchage de cordes.  This feeling inside me
finally found my life, I’m finally free
No longer torn in two,
I learned about my life by living through you.
6’52 12.22 = 12.13 Refrain. Les strings du synthé jouent la contremélodie de 12.13. This feeling inside me,
finally found my life, I’m finally free
No longer torn it two
living my own life by learning from you
7'15 12.23 = transition . E D# F#. Violoncelles à la noirequi annoncent la suite. We’ll meet again my friend, someday
7'26 12.24 = 12.5 thème "glauque" avec breaks de batterie. soon…
8’13 12.25 = 12.24 Thème doublé deux octaves plus haut. Des arpèges de cordes en pizzicato s'ajoutent au thème putain ça fout les jetons. Jolis breaks de batterie, non ?  
9’00 12.26 = 12.25 La guitare double le thème à la tierce. Au fait, vous ai-je parlé des breaks de batterie ?  
9'22 12.27 = 12.26. De plus en plus filtré, le thème va se loger dans un autoradio (ça s'appelle un format compressé). Je ne pensais pas qu'Edward était du genre à écouter Dream Theater.  
9’52  12.28 La voiture s'arrête dans les graviers. Ambiance de nuit . Portière. Bruits de pas empressés. Clés, porte, .  
 10'41  12.29 Porte . Journal radiodiffusé. Bruits de pas lents et lourds. . glaçons.Voiture (et 12.27 en arrière-plan). Boisson qui coule ( au son produit par l'écoulement du liquide, c'est sûrement un Bourbon de Caroline du Sud produit en 1972 par Adam McMillan un soir d'automne. Comment je sais ça ? L'oreille, c'est tout.)  
10.59  12.30 platine disque.  
11’03 12.31 = 1.6 en fanfare lente et solennelle (ou plutôt molle et ténébreuse) sons pleins de middl, on dirait du general midi.  
11'13 12.32 Bruits de pas rapides, cri.  Open your eyes Nicholas
11'19 12.33 Bruit de disque vinyl en fin de course.  

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